Chaque putain de chose qu'on fait dans cette vie, faut le payer ,- avait -elle dit
comme la " Gassion " je vis au grés des jours, grandit dans une rue , un soir
dans un bâtiment , mais pas au pied , dans un petit hamac en bois, endormie
loin d"un cri de râle, qui mets les choses dans le verbe d'une femme en noir
dix ans après l'hiver cinquante quatre de L' Abbé Pierre, qui cheminait
sur les cailloux de Mon Paris qui m'attendait , pour les premiers mots du soir
Proche de mes précepteurs qui ouvrait lors d'un cours qui m'attendait *
les fenêtres pas plus usées mais attendries par la lueur d'un soleil
apres les givres à la veille d'un hiver gris et froid , sans la gelée
les souliers plus qu'usés et un vieux manteau , revu et vu
glissant les mots à mots collés sur le gravats pour l' écolier ,
quand les matins d'hiver ,pour le temps au temps bien eu
les années oui les années qui passent pour le titre
pour les gestes et paroles de ma personne ,pour bouger
toujours bouger dans les allées et venues d'un étage de pièces et devitres
chantant a haute voix a mes heures perdues , comme "La môme "
alléliuia Vita , amiga , vista la vicé ,
gagnant mon pesant de sous avec , loin d'un chêne , home sweet home
le vieux hameau qui m'attendait , chantonnant encore et encore
quand le vieux sac attendait les derniers pièces de monnaie
dans le quai d'un métro et d'un ticket qui me brulait au corps
les quais oû j'ai pas usé ma voix pour le prix ,
sur les quais de Paris ,, la loco d'un corail de mon code AITA
pour le prix a payer , Ma voix pour l'avenir sans soucis
Grazias
Kiss de Samyelle
Postcritum - Hommage à Alain kan( )
comme la " Gassion " je vis au grés des jours, grandit dans une rue , un soir
dans un bâtiment , mais pas au pied , dans un petit hamac en bois, endormie
loin d"un cri de râle, qui mets les choses dans le verbe d'une femme en noir
dix ans après l'hiver cinquante quatre de L' Abbé Pierre, qui cheminait
sur les cailloux de Mon Paris qui m'attendait , pour les premiers mots du soir
Proche de mes précepteurs qui ouvrait lors d'un cours qui m'attendait *
les fenêtres pas plus usées mais attendries par la lueur d'un soleil
apres les givres à la veille d'un hiver gris et froid , sans la gelée
les souliers plus qu'usés et un vieux manteau , revu et vu
glissant les mots à mots collés sur le gravats pour l' écolier ,
quand les matins d'hiver ,pour le temps au temps bien eu
les années oui les années qui passent pour le titre
pour les gestes et paroles de ma personne ,pour bouger
toujours bouger dans les allées et venues d'un étage de pièces et devitres
chantant a haute voix a mes heures perdues , comme "La môme "
alléliuia Vita , amiga , vista la vicé ,
gagnant mon pesant de sous avec , loin d'un chêne , home sweet home
le vieux hameau qui m'attendait , chantonnant encore et encore
quand le vieux sac attendait les derniers pièces de monnaie
dans le quai d'un métro et d'un ticket qui me brulait au corps
les quais oû j'ai pas usé ma voix pour le prix ,
sur les quais de Paris ,, la loco d'un corail de mon code AITA
pour le prix a payer , Ma voix pour l'avenir sans soucis
Grazias
Kiss de Samyelle
Postcritum - Hommage à Alain kan( )
Pièces jointes
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